Comment te dire…

Cher(e) lecteur/rice,

Peut-être me lis-tu depuis quelques jours, semaines, mois où peut être même depuis mes débuts il y a presqu’un an et demi (déjà)!

Et peut-être as-tu remarqué que ces derniers temps, j’écris moins, ou du moins, je n’écris que le strict nécessaire, et encore… J’avoue malheureusement avoir laissé passer quelques partenariats, tests et concours de côté par manque de temps et d’envie.

Pourtant, ce blog j’ai décidé un jour de l’ouvrir parce que j’aime écrire, j’aime partager mes idées, mes trouvailles, mes humeurs (pas toujours bonnes), mes photos (rarement entières) et tant d’autres choses.

J’ai pour habitude de me confier assez facilement ici, auprès de toi lecteur, sans pour autant (trop) gonfler mes amis IRL (enfin j’espère!), j’ai (pour le moment) échappé aux foudres des connasses-de-mères-parfaites-juges-et-bien-trop-pensantes mais j’y passerai, comme les copines blogueuses, y a pas de raison. C’est aussi le jeu.

Parfois, je me dis que dévoiler sa vie privée, ou du moins personnelle sur un blog, sur internet, c’est un peu osé et exhibitionniste et je pense n’avoir pas tout faux. J’ai aussi pris le parti de ne pas (trop) montrer le visage de mon fils et si ça m’arrive, la photo est impérativement taguée. C’est mon choix, je sais pertinemment que les blogs qui regorgent de photos des pitchounous tous plus beaux les uns que les autres ont plus de succès, mais tant pis, je n’ai pas fait ça pour le succès, et je préfère protéger mon fils et ne pas en faire un produit marketing (je ne dis pas que les autres font ça de leurs enfants mais c’est la crainte que j’ai pour mon fils).

Enfin bref, tout ça pour dire que sur mon blog, j’aime bien me confier et raconter ma vie et que ces derniers temps, je l’ai bien moins fait, par manque de temps dû aux vacances au Portugal, au déménagement, au retour au boulot etc.

Et tout ça pour dire que j’ai quelque chose à te dire cher lecteur, mais que je ne sais pas comment le dire, alors je préfère simplement te le montrer et espérer que tu m’excuses pour ces longues semaines d’absence…